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Une grande campagne nationale
pour dire :
Menée à la manière d’une saga, la campagne des Maires de France mobilise l’opinion sur le rôle et actions quotidiennes des Maires dans la gestion des communes. Elle vise également à inciter les citoyens à soutenir l’indispensable échelon démocratique communal.
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Cette campagne,
c'est aussi MA campagne !
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2018 - TEMPS 1 : LA MOBILISATION !

La commune s’assure également de fournir des repas à différents publics fragiles. Les repas des cantines d’une part en crèches, et dans les écoles, dans un souci croissant de garantir une alimentation sûre mais aussi équilibrée et adaptée à la croissance des enfants. D’autre part, la commune organise la livraison à domicile de repas pour les personnes âgées et non autonomes. Le fonctionnement des restaurants scolaires requiert une adaptation permanente et l’engagement de nouveaux coûts, suite au renforcement régulier des normes alimentaires, notamment sur la composition nutritionnelle, la proportion de produits biologiques et l’interdiction de certaines matières comme le plastique.

BON A SAVOIR… / LE SAVIEZ-VOUS ?

AU CLAIR SUR LES CHIFFRES…

L’aide à domicile représente 28 millions d’heures selon les sources de l’Union nationale des centres communaux d’action sociale, 2016. L’ensemble des CCAS recrutent environ 30 000 aides à domicile, déployées auprès de 200 000 bénéficiaires.

Selon les sources de Restau’co, 2017, on dénombre 8 millions de repas servis par jour à toutes les générations.

ELLES INNOVENT…

La cuisine municipale de Lons-le-Saunier (39) prépare environ 5 000 repas par jour. Ils sont servis dans les cantines de la ville, au menu de l’hôpital, des maisons de retraite, de plusieurs self-services d’entreprises, du restaurant municipal et plusieurs sont livrés aux personnes dépendantes.
30% des produits utilisés pour ces repas sont biologiques et locaux. Grâce à une concertation avec les producteurs locaux, la municipalité a réussi à créer des plats à partir d’aliments biologiques qui reste accessibles pour la collectivité. Avec un coût de 3,10 euros, il se situe même en dessous de la moyenne nationale de la restauration collective, à 3,50 euros.

"Passer au bio, c'est juste une question de volonté. ’’ On entend souvent que ça coûte cher. Mais nous avons montré qu'il était possible de maîtriser les coûts d'achat matière en affinant les volumes. Alors qu'en moyenne, 147 grammes de nourriture finissent à la poubelle par repas, nous sommes passés à 32 grammes en ajustant les portions à chaque élève pour limiter le gaspillage alimentaire. Cela représente une économie de 20c€ par repas. Cela montre que l'on peut lever le frein d'achat au bio"

Gilles Pérole, maire de Mouans-Sartoux (06) (Source : Article)