La rencontre organisée par l’AMF, en partenariat avec le ministère du Redressement productif, ouverte par Jacques Pélissard et clôturée par Arnaud Montebourg, avait pour objet de débattre des atouts et des contraintes relatives au développement des véhicules électriques dans les territoires urbains comme ruraux.
(R. Bourguet/AMF)
Le véhicule électrique est appelé, pour des raisons environnementales et économiques, à devenir une composante essentielle des politiques locales de déplacement, y compris dans les espaces périurbains et ruraux peu denses, mais malgré la réussite des premières expérimentations et l’engouement qu’elles suscitent, la mobilité électrique fait encore l’objet à la fois d’attentes et d’interrogations.
Aujourd’hui, l’essor du véhicule électrique repose sur la multiplication des initiatives des collectivités territoriales, et en particulier celles des communes et intercommunalités dans le cadre de leurs politiques de déplacements (infrastructures de recharge, auto-partage). Comment encourager le développement de l’électromobilité sur son territoire par la mobilisation de l’ensemble des acteurs (pouvoirs publics, opérateurs et collectivités territoriales) ? Quel rôle peut jouer le véhicule électrique dans les politiques locales de déplacement et quelle est sa complémentarité avec les transports collectifs urbains et interurbains ?
Autant de problématiques auxquelles ont tenté de répondre les intervenants des deux tables-rondes de cette rencontre.