Alors que la moitié des contrats sont signés, les élus déplorent l'absence de financement pluriannuel, par l'État, de ces documents qui s'appliqueront jusqu'en 2026.
La plupart des élus qui se sont lancés dans la préparation d’un contrat de relance et de transition écologique (CRTE) ont accueilli favorablement la perspective d’une contractualisation globale. Mais la compression des délais et l’ambition d’un tel document ont fortement pesé sur les exécutifs et les fonctionnaires territoriaux. « En interne, cela a demandé un boulot énorme, il a fallu une mobilisation totale des élus et de nos services », témoigne Emmanuelle Fouilladieu, directrice générale des services (DGS) de Saint-Flour Communauté (Cantal), qui a été l’une des premières à signer son CRTE, en juillet 2021. Le préfet du Cantal a mis une forte pression sur les élus pour tenir les délais initiaux, qui prévoyaient une signature avant le 30 juin 2021, afin de répartir au plus vite les crédits du plan France relance.
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